Biennale de la Langue Française

  • Augmenter la taille
  • Taille par défaut
  • Diminuer la taille
Envoyer Imprimer PDF


XXVe Biennale de la langue française

(50e anniversaire de l’association)


BORDEAUX

Vendredi 13 et samedi 14 septembre 2013



Vendredi 13 septembre 2013


9 h : Café d’accueil

Hôtel Mercure Bordeaux Centre, salon Pathé


9 h 30 : Ouverture des travaux

Allocution d’accueil et de remerciement

Roland ELUERD

agrégé de l’Université, docteur d’État ès lettres,

président de la Biennale de la langue française


10 h – 12 h : Première séance de travail


Le numérique : une chance pour la Francophonie


Présidence de séance : Jean-Alain HERNANDEZ, ingénieur général des mines (H), président d’honneur de l’Association des informaticiens de langue française,

administrateur de la Biennale de la langue française


Adrienne CHARMET-ALIX, directrice des programmes de Wikimédia France.


Vivre et promouvoir la francophonie au sein des projets Wikimédia.

Le mouvement Wikimédia est profondément multilingue et laisse une large place aux langues locales. Au fil des années, des initiatives ont émergé de la communauté francophone, afin de coordonner et de promouvoir l’avancée de la diffusion et de la production sur Wikimédia dans l’espace linguistique francophone. De la présence aux événements de la Francophonie aux initiatives en Afrique francophone auprès des universités (Afripedia), en passant par une coordination et un soutien décentralisé aux communautés francophones, l’idée est de faire vivre le dynamisme linguistique de la version francophone de Wikimédia qui, avec plus de 1, 3 millions d’articles est dans le trio de tête mondial.


Marcel DESVERGNE, professeur des écoles, ancien professeur associé à l’université de Bordeaux III, citoyen numérique, vice-président de l’An@é (association nationale des Acteurs de l’école), ancien président de Europe Aquitaine Communication, président de l’Association des lecteurs, internautes et mobinautes de Sud-Ouest, Bordeaux, France.


L’écosystème numérique mondial, la chance de la Francophonie.

Les évolutions numériques que vivent sur tous les territoires de la planète des milliards d’individus, ont et continuent de bouleverser les équilibres que nous avons connus. Il s’agit d’une mutation et d’un changement de monde. Il s’agit de la fluidité des relations entre individus, associations, entreprises, organismes, pays et de combats pour celles et ceux qui n’en n’ont pas encore jouissance. Dans cet univers qui évolue, bouge, vibre comment peuvent s’organiser les organismes et les individus qui produisent, échangent, formulent des contenus, des idées, des manières de vivre au rythme mondial de la société numérique ?


Thibault GROUAS, chef de la mission des langues et numérique à la Délégation générale à la langue française et aux langues de France, ministère de la culture et de la communication, Paris, France.


Encourager et accompagner les initiatives de la société civile en faveur de la langue.

Les technologies numériques concourent grandement aux objectifs de la politique de la langue du ministère de la Culture : assurer la vitalité de la langue française et des langues de France et favoriser le multilinguisme. Le développement des réseaux numériques a permis l’essor d’un grand nombre d’initiatives citoyennes et entrepreneuriales en faveur de la valorisation de la langue française : activisme numérique, mise à disposition de ressources linguistiques, conceptions d’applications et de projets innovants, contributions à des projets de dictionnaires ou d’encyclopédie collaboratives… Dans le contexte de l’ouverture des données publiques et du web de données, qui apparaît aujourd’hui comme un enjeu majeur pour développer des outils de diffusion culturelle, certains projets peuvent bénéficier d’un soutien et d’une visibilité accrue grâce à la plate-forme Sémanticpédia, partenariat stratégique entre le ministère de la Culture et de la Communication, Inria et Wikimédia.


Gaid EVENOU, chargée de mission pour le plurilinguisme, le français dans le monde et la francophonie à la Délégation générale à la langue française et aux langues de France, ministère de la culture et de la communication, Paris, France.


Les approches plurielles d’apprentissage des langues.

On a longtemps estimé que la présence concomitante de plusieurs langues dans l’environnement était source de confusion chez l’apprenant et nuisait à l’apprentissage de chacune d’entre elles et notamment de la langue de scolarisation, d’où l’opinion selon laquelle il était préférable que l’enfant ne pratique pas la/les langue(s) vernaculaire(s) si elles différaient de la langue dominante. Les nouvelles approches didactiques des langues prennent à contre-pied ce postulat : les approches plurielles des langues et cultures démontrent que l’appréhension simultanée de différentes langues et cultures développe des compétences cognitives et pragmatiques jusque là inexplorées.

Cette communication présentera les bénéfices et les attraits de ces approches innovantes ainsi que des applications pédagogiques numériques d’apprentissage des langues.



Déjeuner buffet



14 h – 15 h 30 : Deuxième séance de travail


Enjeux culturels


Présidence de séance : Line SOMMANT, docteur en linguistique française,

chargée de mission à la Langue française au Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA),

fondatrice des Dicos d’or, vice-présidente de la Biennale de la langue française.


Alain LANDRY, directeur général de la Fondation Baxter et Alma Ricard,

ancien vice-président de la Biennale de la langue française, Ottawa, Canada.


La langue française du 21e siècle : quelle langue française ?

La francophonie est d’abord et avant tout la langue française en partage. Cette langue prend de l’ampleur au 21e siècle dans les pays hors de France. Or cette langue est en train de s’abâtardir petit à petit, et ce phénomène trouve son origine en France, majoritairement, hélas. On ne semble pas faire l’effort pour aller puiser dans la richesse de notre langue les mots pour nommer des réalités existantes ou nouvelles. Paresse intellectuelle ? Snobisme ?


Daniel SAUVAITRE, maire de Reignac, Charente, président de l’association nationale Pomme Poire, vice-président de la World Apple and Pear Association (WAPA), France.


Francophonie et géographie amoureuse de la pomme et de la poire dans le monde.

Comment les échanges commerciaux, techniques, scientifiques, botaniques et culturels autour de ces deux fruits participent du soutien à la francophonie.


Jean-Gervais Yoyo MOUTOUMÉ, directeur de l’Institut supérieur africain des technologies de l’information et de la connaissance (ISATIC), France, Cameroun.


La dyscommunication interculturelle.

Notre monde est globalisé. Les différences entre les peuples et les cultures sont rendues de plus en plus visibles par ses canaux de communication. Un type d’universalisme attendu par les occidentaux peut être la rencontre d’un particularisme étonnant. C’est par la raison que l’homme accède à l’exigence d’objectivité et d’universalité.



Pause


16 h – 17 h 30 : Troisième séance de travail


Visages de militants


Présidence de séance : Alain VUILLEMIN, professeur émérite de littérature comparée, rattaché au laboratoire « Lettres, Idées, Savoirs » l’université de Paris-Est, membre du conseil d’administration de l’Amopa (Association des membres de l’Ordre des Palmes académiques).


Christophe TRAISNEL, professeur à l’université de Moncton, département des Sciences politiques, Nouveau-Brunswick, Canada.


Francophonie(s), francophonisme(s) ?

Le militantisme face à la diversité des causes linguistiques.

S'il est une notion dotée à la fois d'un « grand dessein » mais également d'une « grande ambiguïté », c'est bien la francophonie (Léger, 1987). Concept éminemment polysémique, il apparaît que le travail de définition de son sens passe d'abord, comme c'est souvent le cas, par une meilleure connaissance des raisons de son usage, mais aussi des références socioculturelles, politiques et identitaires de ses usagers. Car « on » ne parle pas de francophonie tous les jours et tout le monde ne parle pas de francophonie, ni de la même manière.

Nous souhaitons ici contribuer à une meilleure connaissance de la notion en nous intéressant aux « faiseurs de francophonie », à ceux qui en parlent, la promeuvent, la défendent, et également à la manière dont ils en parlent. Nous chercherons à rompre avec cette prémisse de l'existence « en soi » d'une communauté pour tenter de comprendre comment (et pourquoi) elle est construite, imaginée à travers le processus des interactions politiques qui l'animent. Nous défendrons une idée assez simple : avant d'être « une » communauté, la francophonie est avant tout un ensemble de causes, diversement définies, en fonction des acteurs qui la prennent en charge et en fonction des contextes dans lesquels ces acteurs interviennent.

L'hypothèse sous-tendue est la suivante : si une communauté francophone existe, c'est surtout à travers l'action et la réflexion de « francophonistes » aux causes multiples et l'existence d'une forme plus ou moins voulue de « convergence » de ces causes autour d'une langue « partagée ». Nous montrerons ainsi que « la » francophonie ressemble plus à un carrefour de causes qu'à un projet clairement défini, ce qui en constitue tout à la fois la richesse et le défi.

Nous illustrerons cette thèse à travers l'évocation de plusieurs francophonies militantes : « les » francophonies canadiennes et américaines, et « les » francophonies française et européennes.


Cheryl TOMAN, professeure associée à la Case Western Reserve University, Cleveland, États-Unis.


Militante pour une francophonie pan-africaine :

Werewere Liking et la Fondation Ki-Yi Mbock.

Werewere Liking — une jeune camerounaise d’origine bassa — est arrive en Côte d’Ivoire en 1979 pour y fonder un département de théâtre avec sa collègue française Marie-José Hourantier. Malgré le succès de leur projet, Liking a fini par s’en lasser ; faire du théâtre à la fac a ses limites et touche l’élite au lieu du grand public tandis que Liking envisageait son théâtre comme un outil favorisant le développement. Trente ans plus tard, Liking est actuellement l’auteure de nombreux ouvrages en français (poésie, théâtre, roman, chant-roman) et la directrice fondatrice de la Fondation Ki-Yi Mbock, un centre artistique francophone qui s’occupe de la formation des jeunes. Entre le Cameroun et la Côte d’Ivoire, Liking a fait des recherches également dans plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale pour construire une vision pan-africaine et francophone qui se manifeste dans ses écrits ainsi que dans la direction de sa Fondation. Je présenterai une synthèse l’œuvre de Werewere Liking en montrant l’importance d’un français africanisé et authentique dans le parcours de cette grande militante de la francophonie.



18 h : Réception des biennalistes à l’Hôtel de ville de Bordeaux


Dîner et soirée libre



Samedi 14 septembre


9 h – 10 h 30 : Quatrième séance de travail


« Société civile » et Francophonie institutionnelle


Présidence de séance : Imma TOR FAUS, directrice de la langue française

et de la diversité linguistique à l’Organisation internationale de la Francophonie.


Fahrida Garga SIDDIKI, porte-parole du Parlement francophone des jeunes, responsable de la section Afrique subsaharienne de l’association des jeunes Francophones en Action, participante au premier Forum mondial de la langue française de Québec, 2012, Douala, Cameroun.


La Francophonie telle que vécue par les acteurs de la société civile.

À l’heure où la mondialisation bat son plein, la promotion des valeurs de la Francophonie représente certainement un grand défi. Des événements internationaux tels que le Forum mondial de la langue française tentent notamment au besoin des populations francophones de s’exprimer, de partager et de présenter leurs propres résolutions. Il se révèle ainsi l’opportunité de resserrer les liens entre la Francophonie institutionnelle et la société civile.


Michèle CARTIER LE GUÉRINEL, déléguée générale de la Fédération internationale des Experts-comptables et commissaires aux comptes francophones, animatrice du Réseau des associations professionnelles francophones (RAPF), Paris, France.


Agir ensemble pour la langue française dans les milieux professionnels.

La nécessité de travailler en réseaux pour faire face aux défis posés par la mondialisation a amené plusieurs associations professionnelles francophones à s’unir pour traiter en commun des enjeux et défis liés à la promotion de la langue française dans le monde du travail. Par leurs actions collectives, ces associations qui interviennent dans des secteurs professionnels très variés, santé, comptabilité, audit, normalisation, ingénierie, management de projet… contribuent au rayonnement de la langue française de même qu’au renforcement de l’espace économique francophone.


Ribio NZEZA BUNKETI BUSE, secrétaire permanent de la Caravane d’animation culturelle pour le développement durable « CARAC », membre du premier Forum mondial de la langue française et du Comité de suivi de la Déclaration des jeunes francophones et francophiles, Québec 2012, Kinshasa, République démocratique du Congo.


La place des militants de la société civile dans la francophonie du 21e siècle.

La Francophonie est aujourd’hui face à une mutation de l’environnement global. Les organisations nationales et internationales ne sont plus les seules actrices sur la scène. D’autres acteurs ont fait leur entrée, notamment la société civile et les jeunes dont les voix acquièrent de jour en jour une forte résonance. Il est alors utile d’envisager de quelle manière l’O.I.F. peut se saisir de cette opportunité et particulièrement du premier Forum mondial de la langue française de Québec 2012.



Pause


11 h – 12 h 30 : Cinquième séance de travail


Sud-Ouest en francophonie


Présidence de séance : en attente


Nicolas VAUZELLE, responsable du « laboratoire des usages » (living lab) du Sud-Charente sur la ruralité numérique, responsable de rubriques de la Revue l'École numérique du CNDP, professeur de mathématiques au lycée Marguerite-de-Valois, Angoulême, France.


Du laboratoire des usages aux projets coopératifs.

Grâce à l’avènement du numérique, des projets communs rassemblant à la fois des habitants de plusieurs territoires parfois lointains, des laboratoires de recherche et des entreprises peuvent voir le jour. Ancrés sur les territoires, au cœur de leurs problématiques, ils ont pour vocation de sortir la recherche des laboratoires et de mettre en place une véritable société de partage et de connaissance. Comment développer ces partenariats sur un territoire rural (exemple du Sud-Charente) éloigné des grands centres universitaires. À quel coût ? Sur quelles problématiques ?


Olivier CAUDRON, directeur des bibliothèques, de la lecture publique et des médias culturels à la Ville de Bordeaux.


Des lieux « francophonissimes » : les bibliothèques

Attachée de façon générale à la coopération internationale, la communauté des bibliothécaires l'est particulièrement au sein de la francophonie, comme l'a illustré la mobilisation en faveur des bibliothèques haïtiennes durement touchées par le séisme. Le congrès annuel de la Fédération internationale des associations de bibliothécaires (FIAB, ou IFLA en anglais) qui se tiendra en France, à Lyon, en août 2014, représente également un enjeu important pour affirmer la place francophone dans ce milieu professionnel. Les collections elles-mêmes des bibliothèques, tel le réseau de la Ville de Bordeaux, font largement connaître les oeuvres francophones et soutiennent ainsi l'expression écrite ou orale en cette « langue-monde » ; tandis que les portails et les bibliothèques numériques permettent de diffuser des contenus en langue française à l'échelle de la planète.


Anne MARBOT, responsable InfoDoc au Conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux (CIVB), Bordeaux.


Les vins de Bordeaux : un atout francophone millénaire.

Les vins de Bordeaux bénéficient d’un héritage culturel et d’un potentiel de communication que le monde entier nous envie : une notoriété et une signature universelle, mais aussi des codes sémantiques spécifiques (château, terroir …), une diversité de produits qui se déclinent aussi bien en rouge qu’en blanc avec un dénominateur commun dans le style « Bordeaux » ainsi qu’un savoir-faire largement exporté ou imité.  Aujourd’hui, ses fondamentaux restent plus que jamais d’actualité même s’ils sont toujours menacés.  Depuis 1948, l’Interprofession, puissant levier collectif de la communication des vins de Bordeaux, s’est toujours investie dans la différence culturelle et linguistique des marchés tout en adoptant les nouvelles technologies et sans abandonner l’approche de terrain comme l’Ecole du Vin, la défense du patrimoine, l’œnotourisme … une belle dynamique pour la langue française à l’ère numérique.




12 h 30 –13 h Séance de clôture


Apéritif cocktail






 

Accréditation OING Francophonie

Sommaire des Actes de la XXVe Biennale

Sommaire des Actes de la XXVe Biennale

Livre XXV : Quels militants pour la francophonie au XXIe siècle?

Sommaire

Message de Alain Juppé

Ouverture des travaux par Roland ELUERD

Comité d'honneur (titre et patronages)

Programme des travaux



Actes de la XXVe Biennale, Bordeaux, 13 et 14 septembre 2013


Première séance de travail : Le numérique : une chance pour la Francophonie

Présidence de séance : Jean-Alain HERNANDEZ, ingénieur général des mines (H), président d’honneur de l’Association des informaticiens de langue française,
administrateur de la Biennale de la langue française


Adrienne CHARMET-ALIX

Vivre et promouvoir la francophonie au sein des projets Wikimédia.


Marcel DESVERGNE
L’écosystème numérique mondial, la chance de la Francophonie.


Thibault GROUAS
Encourager et accompagner les initiatives de la société civile en faveur de la langue.


Gaid EVENOU
Les approches plurielles d’apprentissage des langues.


Deuxième séance de travail : Enjeux culturels

Présidence de séance : Line SOMMANT, docteur en linguistique française,
chargée de mission à la Langue française au Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA),
fondatrice des Dicos d’or, vice-présidente de la Biennale de la langue française.


Alain LANDRY
La langue française du 21e siècle : quelle langue française ?


Daniel SAUVAITRE
Francophonie et géographie amoureuse de la pomme et de la poire dans le monde.


Jean-Gervais Yoyo MOUTOUMÉ
La dyscommunication interculturelle.


Troisième séance de travail : Visages de militants

Présidence de séance : Alain VUILLEMIN, professeur émérite de littérature comparée, rattaché au laboratoire « Lettres, Idées, Savoirs » l’université de Paris-Est, membre du conseil d’administration de l’Amopa (Association des membres de l’Ordre des Palmes académiques).


Christophe TRAISNEL
Francophonie(s), francophonisme(s) ? Le militantisme face à la diversité des causes linguistiques.


Cheryl TOMAN
Militante pour une francophonie pan-africaine : Werewere Liking et la Fondation Ki-Yi Mbock.


Quatrième séance de travail : « Société civile » et Francophonie institutionnelle

Présidence de séance : Imma TOR FAUS, directrice de la langue française
et de la diversité linguistique à l’Organisation internationale de la Francophonie.


Fahrida Garga SIDDIKI
La Francophonie telle que vécue par les acteurs de la société civile.


Michèle CARTIER LE GUÉRINEL
Agir ensemble pour la langue française dans les milieux professionnels.


Ribio NZEZA BUNKETI BUSE
La place des militants de la société civile dans la francophonie du 21e siècle.


Cinquième séance de travail : Sud-Ouest en francophonie


Nicolas VAUZELLE
Du laboratoire des usages aux projets coopératifs.


Olivier CAUDRON
Des lieux « francophonissimes » : les bibliothèques


Anne MARBOT
Les vins de Bordeaux : un atout francophone millénaire.


Clotûre


A la Une

« La culture suppose l'enracinement, la profondeur et la perspective d’un épanouissement sans cesse en progrès. »

Jacqueline de ROMILLY

Présidente d’Honneur de la Biennale de la langue française (2002-2010)

Dans Le Trésor des savoirs oubliés, Éditions de Fallois, 1998, p. 93